Alain Ronan

Alain Ronan

La renommée d’Alain Ronan et la reconnaissance par ses pairs, il la glane dans cette diversité de culture et de paysages au point de couvrir sa signature en surprenantes fresques portées sur les murs de la chapelle bretonne : la Chapelle de la Congrégation à Pleybenen 1995, voit une fresque de 60 m² sur le 7e chapitre de l’apocalypse, un travail exceptionnel de deux ans.

 » Cette commande était un défi pour moi « .

Sa quête perpétuelle vers de nouvelles expériences techniques est un vrai travail sur soi, l’audace de tout tenter.

En homme libre, il fait parler les vitraux, utilise la technique pastel, la peinture à l’huile ou la soie, il joue sur l’énergie des matières, les caresse, les apprivoise et les patine avec une telle précision.

Entre ciel et mer, l’univers de l’artiste peintre venu poser ses pinceaux à la Feuillie, est bordé par les éléments qui donne force et rythme à ses œuvres.

La thématique de la mer est reprise comme une portée musicale aux flux des marées, elle se laisse bercer par un nouveau monde de légende, un appel à la rêverie poétique.

Ses œuvres se livrent à cœur ouvert dans les entrailles de terres inexploitées ou d’iles inconnues polies par d’infinis horizons sous la technique des glacis.

Parfum de la mer à flot de sa sensibilité bercée par sa Bretagne natale, touches spontanées sans contours, les bleus profonds annoncent la couleur dans ses œuvres.

Dépouillement d’effets, affrontement des matières fluides, la nature émerge où ses cadrages marins soulèvent des fonds tourmentés, éprouvant les gestes combatifs des pêcheurs au labeur.

Après la violence des marées, la prégnance de la mer redevient paisible aux aplats bleutés et de terre d’ocre… Il y a toujours un phare annonciateur d’une douce lumière protectrice. Elle cerne et façonne les êtres dans une histoire hors du temps s’ouvrant à la méditation.  « Ma peinture est celle de l’imaginaire, c’est une lecture dans la peinture, une philosophie de l’image ».

Annie Rasse

Depuis l’enfance, j’ai toujours dessiné des portraits, des animaux … Écrit des nouvelles, des poèmes.

L’artiste en herbe était présente sans que j’en aie réellement conscience.

J’ai commencé la sculpture sur terre en 2015, puis dans la foulée la sculpture sur pierre dans l’atelier de Jean-Philippe VATTIER, à Rouen.

J’ai appris sur le « vif », sans formation initiale. Grâce à mon excellent professeur,

j’ai réussi petit à petit à obtenir des résultats qui me satisfont, même si je n’ai pas encore acquis la parfaite maîtrise de cet art difficile.

Ma passion antérieure à 2015 était axée sur la peinture à l’huile et l’aquarelle, que j’ai délaissée au profit de la pierre, matière captivante et émouvante.

Bien que revenant tranquillement vers la peinture actuellement et d’autres techniques artistiques, l’appel et l’amour de la pierre sont toujours aussi présents.

Annie Rasse

Véronique Malandain

Véronique Malandain

Très jeune, Véronique s’intéresse au dessin en commençant
avec de la pastel sèche.

En 2006, elle s’essaie à la peinture à l’huile en suivant des cours
avec différents professeurs, dont Alain RONAN qui l’a initié aux
peintures marines.

La gamme de ses toiles est diverses, et actuellement son intérêt s’est tourné vers les portraits.

« Une fois finie, la toile n’appartient plus au peintre et ne vit que
par le regard du public. » 

Citation de Pablo Picasso

Véronique en a fait sa devise.

Les Gribouillis de K…

Les Gribouillis de K…

Les gribouillis c’est le nom qu’on donné des enfants à mes tableaux lors de ma première exposition en milieu scolaire.

 » Qu’ils sont beaux tes gribouillis Karine   »

J’en ai fait mon nom d’artiste et je signe K… K comme Karine … pour mes 3 filles et aussi parce que je peux toujours revenir modifier un gribouillis tant qu’il n’est pas vendu

Je suis originaire de la Vienne (86). Je suis partie pour mes études de publicité et j’y suis revenue pour m’y installer.

Après des années à travailler auprès des enfants où j’ai certainement puisé toute mon inspiration, je me suis lances depuis plusieurs années maintenant en m’inscrivant à la maison des artistes afin de gribouiller, déchirer, coller, patouiller pour vendre mes gribouillis lors d’exposition, de salons, dans des boutiques de créateurs, à ma boutiK atelier…Bref partout où mon cœur m’amène.

Complètement autodidacte, j’aime à penser que je crée comme les enfants. Je ne réfléchis pas, il faut que ce soit direct, presque instinctif. J’utilise l’aquarelle, l’acrylique, la bombe, les poscas d’une manière girly en ajoutant matières à gogo… Dans mes gribouillis ce que je recherche à mettre en évidence c’est tous les bonheurs de la vie.

Mon petit monde s’articule autour de couleurs, d’amour, de poésie, de dessins enfantins…Ce petit monde que parfois vous avez oublié et pourtant vous fait tellement de bien.

 

Les gribouillis ça dit LOVE et ça fait OUAH sur une palette 100/100 colorée

francoise Guichard

Françoise Guichard

Voici le résumé de mon parcours. Je suis née le 19/07/1959 près de Rouen.

Enfant, le dessin était mon passé temps favori.

Puis, les études et la vie professionnelle m’ont éloignée de cette passion.

Enfin, il y a une vingtaine d’années, je me suis inscrite dans une association à Taverny (95) pour prendre des cours d’aquarelle avec Jacqueline Pelon (peintre aquarelliste).

Ce fut le déclic pour renouer avec la peinture.

Depuis, je peins pour le plaisir.

J’espère que ce résumé convient.

Je prépare la suite et vous envoie dans la journée

Delphine Devos

delphine DEVOS

Delphine Devos

Artiste plasticienne, elle se forme aux arts plastiques dans la région Bordelaise. Elle participe à des expositions collectives et présente ses premières peintures dans une orientation plutôt brute. Très vite, le volume s’impose à elle et c’est à l’occasion de sa première exposition personnelle à la Maison des Femmes de Bordeaux, en 1990 qu’elle présente ses premiers bas-reliefs sur toile et sculptures.

Elle s’installe ensuite en Normandie en 2000 et c’est après sa rencontre déterminante avec le peintre Normand Gérard Rémigereau qu’elle oriente véritablement son travail artistique. Le corps féminin prédomine dans des formes souvent sensuelles et généreuses. C’est son corps qu’elle met en scène, ses formes déformées et reformées pour ne pas sombrer et qui agit comme une catharsis.

Elle travaille aujourd’hui les peintures en forçant le trait comme pour marquer les cicatrices de la vie et accentuer les blessures de l’âme mais c’est avant tout le regard (souvent sombre et mélancolique) qu’elle pose en premier sur la toile et le reste va de soi. Dans une rechercher singulière et poétique, elle joue malgré tout avec toujours les couleurs de la vie.

Depuis 2005, s’enchaine divers expositions collectives, privées et en Galeries ou le vent l’emporte et ou des prix lui sont attribués. A la maison des artistes depuis maintenant quelques années, elle se consacre entièrement à son travail de volume et de peinture.

Le monde l’inspire et c’est le plus souvent dans l’urgence que Delphine Devos donne naissance à ses créatures qui ne sont que le prolongement de d’elle-même.